Okuzan
Messages : 91 Date d'inscription : 08/11/2011
| Sujet: Biographie Valir Ciryiondeliel Dim 11 Déc - 19:36 | |
| HISTOIRE
Introduction La Naissance
Valir est née on ne sait trop où mis a part qu'il est née dans une forêt.Il ne connu jamais ses parents et dû apprendre les lois de la nature seul. Avant de devenir ce qu'il était Valir vécut de nombreuses aventure dans sa forêt notamment avec Valtiel Dovhan avec qui il passa de nombreuses décennies. Dans ses épopées il apprit de nombreuses choses sur la nature et la forêt qui l'entourait et c'est grâce à sa qu'il s'attira les grâces d'Elhonna, le dieu licorne de la forêt. Mais je vais donc vous racontez ses aventures dans la forêt.
Chapitre numéro inconnu (va surement être déplacé ou supprimé) : La Rencontre Je devait avoir a peut près 100 ans et des broutilles quand je rencontra Valtiel qui apparemment c'était enfuit d'une forteresses d'elfes noirs où il travaillait comme esclave. Bien que je n'en avais jamais entendu parlé je le crus sur parole vu son visage fatigué par le travail. Malgrès ses blessures qui lui causaient tant de souffrance il me parut très aimable et faisait preuve d'une grande gentillesse, je pressentais que nous ferions un bon bout de chemin ensemble et je ne croyais pas si bien dire. Très vite il voulut devenir druide il croyait en d'autres Dieux que moi mais il avait pourtant lui aussi des pouvoirs druidiques. Nous nous racontions des anecdotes autour d'un feu.
Chapitre numéro 1 Une étrange créature Je me baladais tranquillement au bord de la mer que j'avais découvert depuis peut quand soudain je vis quelque chose s'agiter, rien de bien concret mais cela me troublait un peut au loin dans la mer je voyais une sorte de masse, pas énorme mais on la distinguais nettement elle avançais plus vite que les autres vagues ce qui la rendait facilement repérable, je me préparais au pire quand soudain j'entendit un rugissement, une sorte de feulement tel un chat sauvage il se rapprochait dangereusement, je préparais mes jambes pour courir quand soudain quelque chose sortit des flots et tentas de me mordre, grâce a mes réflexes aiguisés je l'évitas de justesse mais je tombais quand même a la renverse, je me releva très vite et pris mes jambes à mon coup, du moins, hors de portée du monstre, lorsqu'il a tenté de m'avaler il a pousser le même feulement et son visage était celui d'un félin, bien que recouvert d'écailles de poisson, c'était le félin marin dont on m'avais parlé. Connaissant sa dangerosité (il avait mangé quelques pêcheurs ET leurs bateaux) je décidais de prendre doucement la fuite non sans faire une petite demande d'assistance divine à Elhonna. Me disant que je reviendrais plus tard, je me promettais que j'aurais la peau de ce monstre.
Chapitre numéro 2 Le début de la chasse J'arrivais dans un village côtier bien décidé à rassembler des hommes pour avoir la peau de ce monstre, connaissant les dommages qu'il occasionnaient il me le ferais surement gratuitement, mais quelque chose m'intriguaient, dans la taverne où j'entrais j'entendait certaines personnes en parler et il y avaient quelques sujets de disputes sur la taille du monstre, je m'approchais mon bâton a la main et j'écoutais, adossé a un mur. "Mais je suis sur qu'il est gros comme la table des fêtes du maire, qui fait elle au moins 6mètres où a peut de chose près !" "Arrête de dire des sornettes, il fait tout juste la taille d'un charrette et encore, sans compter les bras de la charrette ce qui donne 4 mètres à tout casser." Moi même n'était plus trop sûr de la taille de la bête en question, mais d'un coté je sentais que quelque chose clochais... Je commanda une chambre avec le peut d'argent que j'avais et dormi d'un sommeil quelque peut troublé par les question que je me posais. Le lendemain j'affichais un message sur la place publique annonçant :
RECHERCHE COURAGEUX VILLAGEOIS ET PROPRIETAIRE D'UN BATEAU POUR TUER MONSTRE DES MERS Même si certains s'écartaient de couardise, une petite troupe de villageois venait m'épauler dont un brave gaillard qui possédait un bateau de pêche au gros, sur ce coup la j'avais eu de la chance je l'avoue.Je préparait donc tout le monde les briefant rapidement sur la tactique a suivre pour attraper l'animal, m'attendant au pire.
Chapitre numéro 3 La traque Le vent était de notre coté,nous voguions vaillament jusqu'au moment où nous appercevîmes la bête tournant en rond comme un animal en cage.Certains lachait des petits hoquet d'étonnement quand ils birent le félin bondir prestement hors des flots, pour ma part je gardais mon calme jusqu'a l'évenement suivant. Un instant je crus voir douvle mais il y avait bel et bien deux monstres ! Je notais aussi la différence de tailles souligné par les paysans. Le premier retomba sur le bateau en aplatissant quand même un homme. Les autres ne furent pas long a réagir, des harpons volaient de toutes part, le mien lui atteint la bête juste au dessus de l'oeil. Le félin lui aussi se défendais, sa queue envoyait deux à la mer (vite dévoré par le plus petit, surement la femelle) tandis que ses griffes tuèrent quatre d'entre nous. Après s'être repus le second fit tanguer le rafiot d'un bon revers de sa grande queue. Les hommes hurlaient, le ciel était sombre, grisâtre mais nous nous en soucions peut, il fallait combattre pour notre vie, j'empoignais rapidement un harpon, prenant mon courage a deux mains, je m'élançais tout droit vers la bouche de la bête, trop occupé pour me prêter attention, l'animal poussa un hurlement de rage, son dernier, le harpon entra à la vitesse du vent dans sa cavité bucale, il tomba sur le flanc, certains hommes criaient de joie mais la partie était loin d'être finit, la femelle restait, essayant toujours de faire sombrer le bateau sous les flots, nous n'étions que 7, il fallait en finir, nous prîmes les harpons sur le félin dont nous venions de venir a bout, la femelle avait elle aussi envie de se venger, elle sautait a l'autre extrémité du bateau, a l'inverse de la bête morte, elle arracha la tête d'un, trancha en deux l'autre, les derniers tachait de survivre, moi pour ma part je fonçais dans la cale, empoignant un tonneau de poudre, le plan était simple, risqué et absurde mais je ne voyais pas autre chose a faire je revenais, seulement deux restait, le capitaine du bateau, un homme rude, grand la quarantaine, cheveux poivre et sel. Je lançais donc le tonneau dans la bouche et, très vite envoya une petite flamme en contact avec.La suite fut des plus... inattendu.
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